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 Rise of Prakjania - Les grosses baleines échouées - Alvaro Suarez

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Alvaro Suarez

Alvaro Suarez


Messages : 15
Date d'inscription : 24/05/2015
Localisation : T'as rien qu'à me chercher, si tu veux vraiment le savoir. '^'

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MessageSujet: Rise of Prakjania - Les grosses baleines échouées - Alvaro Suarez   Rise of Prakjania - Les grosses baleines échouées - Alvaro Suarez Icon_minitimeVen 29 Mai - 23:14

Alvaro Suarez




◦ Nom: Suarez
◦ Prénom(s): Alvaro
◦ Age: 31 ans
◦ Sexe: Masculin
◦ Univers: Prakjania
◦ Aime: Les histoires, l'alcool, la musique, nager
◦ Déteste:  Les gens qui n'écoutent pas, les trucs qui n'aboutissent à rien, ceux qui maltraitent les autres
◦ Style d'arme maîtrisé:  Épée

Force
★★★★
Rapidité
★★★
Endurance
★★★★★★
Réflexion
★★
Courage
★★★★★
Rebelle
★★★★★

Physique

Alvaro est un peu plus grand que les Rusakas de son âge.  Comme les siens, il n'est pas vraiment gros.  Il était très mince auparavant, mais à force de travailler en cachette pour son vaisseau, il a réussi à développer des muscles, d'autant plus qu'il devait transporter des sacs de produits quelquonque.  Mais sur son torse nu on pouvait voir de nombreuses blessures données par ses maîtres Sivikus en guise de punition.  Le destin lui avait donné la voie de l'esclavage à cause de ses branchies et de sa capacité à bien voir sous l'eau.  Toutefois, il s'est très bien nager et est très agile sous l'eau.  Cela n'a pas empêché les Sivikus de le corriger, par contre…  Ils n'ont jamais réussi à éteindre ce petit éclat de rébellion dans ses yeux gris foncés . Ni celui de curiosité  et qui semblait toujours dire ''Pourquoi?''.  Cet homme a développé une certaine endurance contre les attaques.  Comme les esclaves de Myacénie, il n'est pas très vêtu, mais c'était quelque chose dont tout le monde s'en fichait. Autrement,  Alvaro avait des cheveux longs et noirs, qu'il s'était coupé en signe de rébellion, suivi par plusieurs de ses camarades.  Ils lui arrivent maintenant sur l'oreille, mais contrastaient toujours bien avait sa peau pâle, qui n'a même pas un peu bronzé rendue à la surface.  Il n'est pas très frileux, étant donné qu'il a passé sa vie dans l'océan à peine habillé.  Il a donc continué de se balader avec un pantalon seulement pendant trèèèès longtemps...  


Caractère

Doux, obéissant et surtout, surtout pas têtu?  Ce n'est pas Alvaro.  Premièrement, il est loin d'être doux.  Sympathique peut-être, mais pas doux comme un agneau.  Il est gentil, c'est juste qu'il manque de tact. Quand les Rusakas s'entraident, ils doivent le faire en silence.  Alvaro a décidé de ne pas suivre l'instinct des autres et s'en est remis à essayer de les rassurer.  N'y connaissant rien aux relations humaines, ça ne marchait pas beaucoup, mais les autres l'appréciaient quand même.  D'ailleurs, c'était le plus social de tous les Rusakas et qui donnait des conseils le plus ouvertement.  Cette différence a sans doute effrayé les Sivikus, et leurs actes l'ont révolté encore plus qu'avant.  Cela nous emmène  au deuxième point:  Il n'est pas du tout obéissant.  Si la majorité de ses supérieurs auraient été là pour en témoigner, ils l'auraient fait.  Cet esclave posait trop de questions et n'écoutait pas les réponses qu'on lui fournissait, qui n'étaient pas véridique à ses yeux.  Lorsqu'on le menaçait, il se tenait fièrement debout et soutenait les regards de ses maîtres.  Il n'aimait pas cette manière de vivre, et il croyait fermement que c'était en faisait le désobéissant qu'il pourrait s'en échapper.  D'autant plus qu'il protégeait les autres.  Il se portait volontaire à prendre les coups des autres, mais lorsqu'ils s'agissait d'enfants, il perdait tout ces moyens.  Parfois il regrettait les conneries qu'il faisait, mais ses sacrifices, jamais.  Finalement, le troisième point: Il est extrêmement têtu.  Quand il voulait savoir quelque chose, il ne lâchait pas prise. Quand certains de ses compagnons n'avaient plus foi en son projet, il essayait de les convaincre qu'ils allaient tous s'en sortir, que ça allait marcher.  Au final, ceux et celles qui ont cru en lui tout le long sont ceux qui sont venus avec lui dans son vaisseau.  


Histoire

Tout ça était de sa faute!  C'était évident, pourtant, mais tout le monde l'ignorait.  Bon je sais que nous avions renié la Machine depuis longtemps.  C'est quand même à cause d'elle qu'on est pris dans l'océan, qu'on s'est adapté et qu'on est devenus des esclaves!  Pourquoi essayer de l'oublier, alors qu'on est forcé à voler de l'énergie vitale à ses petits?  Pourquoi ne pas remonter à la surface et lui régler son compte?  Je savais que c'était une divinité, mais on s'en fout de ça!  À quoi bon une divinité qui n'est même pas capable de protéger ses enfants? De pas grand chose!  Pendant une bonne partie de ma vie, j'avais consacré tout mon temps à me construire un vaisseau, qui serait capable de sortir de ce trou d'algues pourries.  Au tout début, j'ai dû travailler seul, parce que personne pensait que j'avais une tête.  Enfin, il y avait toujours Ale, le vieux Rusaka (mon idole), pour me soutenir dans mon projet.  Mais au fil des ans, j'ai fini par avoir de l'aide et le soutien de nombreuses personnes.  Jusqu'à en avoir un équipage!  On avait tous travaillé très fort, et ça a rapporté des plantes.

Attendez, j'ai oublié de vous raconter mon passé.  Ahah, vous vous demandiez où que j'allais en venir avec mon Farelucio, hein?  Ben sachez que j'ai eu une enfance!  Vous l'avez pas vu venir celle-là, avouez-le!  Quoique, franchement, elle parle juste du pauvre petit moi en mode enfant  qui avait les cheveux longs, qui cultivait les algues et qui empêchait les poissons de bouffer nos récoltes.  Comme tous le monde, je suis né dans Balka.  Sauf que moi, je n'ai pas été mis au monde par une simple famille marchande, mais par la famille Suarez, une des trois plus importantes de Myacénie.  Ça n'a pas arrêté le fait que j'ai gardé mes branchies et ma capacité à voir clairement sous l'eau à trois ans, l'âge où je suis supposé les perdre.  J'ai été donc envoyé à l'extérieur de la ville, pour aller apprendre à cultiver les champs d'algues.  C'est un épisode de ma vie assez ennuyeux, alors je vais vous parler tout de suite de Ale.

Ale était un vieux Rusaka que tout le monde connaissait au moins de nom.  Moi, haut comme trois truites à l'époque,  je me montrais très curieux envers cet homme.  Je ne sais pas pourquoi lui, pourtant tout était banal chez lui:  Tout fripé, sourcils broussailleux et une barbe blanche.  Mais il avait un regard différent des autres: Ceux des Rusakas étaient vide de pensées ou d'émotions  lorsqu'ils travaillaient.  Mais lui, parfois, regardait vers le haut avec des yeux dans la lune… rêveurs, même.  J'avais cinq ans, quand je lui ai parlé pour la première fois.  Je lui avais demandé pourquoi il regardait en haut, et il m'a répondu.  Rapidement, je me suis attaché à lui comme il s'est attaché à moi.  Parce qu'il était le Rusaka qui savait le plus de chose.  C'est lui qui m'a parlé de la Machine et de ses enfants.  Et c'est depuis ce temps-là que j'ai commencé à me révolter.  Depuis, je me suis souvent fait punir par les Sivikus, parce que je ne prenais plus leurs règles au sérieux comme avant.  J'éprouvais le désir de parler aux gens, de leur donner un éclat de vie dans les yeux.  J'avais aussi le goût d'avoir un nom de famille, et comme je me souvenais du nom de mon père biologique, j'ai commencé à préciser que c'était Alvaro Suarez, mon nom.  Bien sûr, les Sivikus étaient très en colère et j'ai du me faire discret les années suivantes.  Ale m'avait parlé des Majars, ainsi que de leur sens de la famille. Et j'ai décidé  que ma famille, ça serait tous les Rusakas, et que même si j'en étais sûrement pas le père, j'en serais le frère protecteur.  À seize ans, j'ai eu l'idée de prendre revanche sur la Machine et c'est là que j'ai commencé à dessiner le plan du vaisseau.  Ensuite vous connaissez la suite:  Personne voulait m'aidé, patati et patata… et BOUM!  On était finalement prêt à aller bousiller un dieu!

Lors de ce fameux jour (LE fameux jour!),   on a foutu toutes les récoltes en l'air, et on a réussi à atteindre ce que les aînés appelaient la ''surface''.  C'était vraiment bizarre: Là-bas, il fallait respirer avec la bouche et le nez!  Et la descendance de la Machine ressemblait aux Majars!  C'était du vrai chouchoutage!  Alors on en a capturé plein et on les a installés dans la cale.  Là j'ai pu retirer quelques informations d'une brunette (les couleurs sont beaucoup plus claires en haut), et on s'est dirigé vers une autre planète.  
Arrivé à destination, je crois que j'aurais préféré rester là où on était sortis.  Parce que là-bas,  c'était propre et pas si sec que ça.   Mais sur cette planète,  on avait vraiment de la misère à respirer et c'était sec comme le ton des Sivikus.  On venait d'apprendre à respirer comme les Majars, et voilà qu'on inhale plein de poussière au goût douteux!   À mes yeux, c'était la cachette idéale pour une divinité.  Il faut dire que j'avais pas tort, car il y avait des gens qui n'avaient pas de visages,  mais une sorte de truc noir déformé à la place!  C'était la Machine!!! J'en étais certain!  Sauf qu'elle s'était clonée et ses doubles couraient partout.  Sa lâcheté m'a vraiment outré, mais au moins elle me prouvait qu'elle n'était pas si forte que ça.  Il fallait que j'examine chaque double et le faire rapidement, à la recherche d'un signe qui pourrait la trahir, parce qu'ils n'étaient pas tous pareils.  J'avoue que je m'y était pris un peu au hasard, mais celui qui n'avait pas de cheveux portait le plus gros de mes doutes (c'est rare quelqu'un qui est chauve!)  Mon équipage et moi l'avons capturé et descendu dans la cave, avec les autres.  Ensuite, on a kidnappé le plus de fuyard possible et nous avons quitté ce monde.  Plus tard, lorsqu'on en était éloigné depuis longtemps, cet univers s'est détruit.  Ma faute?  Ça doit.  Mais c'était un grand sacrifice nécessaire, pour tout ceux qui ont souffert.

''Reste qu'ils ne méritaient pas tous ce sort…''

Pendant le trajet, la Machine fauteuse de trouble a essayé de s'échapper.  Mes matelots l'ont contrôlé et ligoté dans ma cabine.  Bah de toute façon, j'étais sur le point de le convoquer.  J'avais des comptes à régler avec lui.  Au début, je ne lui est pas parlé, j'étais plutôt en train de le fixer plus profondément cette fois-là.  C'est là que j'ai commencé à me demander si je m'étais pas trompé.  Ce type paniquait à mort et me demandais ''Qui êtes-vous'' et tout le tralala d'une personne prise en otage.  Une divinité, ça n'a pas un minimum de dignité?  Or, ce mec ne semblait pas en avoir vraiment. Alors je lui est renvoyé sa question, pour voir s'il allait répliquer d'un ton plus dur et plus courageux que ça:

-Et toi, qui est-tu?  Une machine vraiment chiante qui a décidé de jeter des gens à l'eau dont la moitié ont eu la vie ruiné?  Qui fait autant d'enfants que tous les Majars réunis?  Qui ne pense qu'à elle et qui ne pense qu'à son nombril artificiel?  Qui ne mérite pas d'être vénérée?  Tu sais que tu me déçois beaucoup?

Bon, j'avoue qu'à ce moment-là, j'étais aussi agressif qu'un requin.  Mais pourquoi m'en vouloir?  J'étais super fâché et avec raison.  Et j'ai continué, cette fois-ci en lui hurlant au visage:

-Tu sais pourquoi?  Parce que tu es la personne la plus peureuse que j'ai jamais vu de toute ma vie!  Dans la cale, il y avait des prisonniers qui priaient pour toi!  Qui te demandaient de les épargner!  Mais qui est la personne que tu souhaitais épargné? TOI!  Pa sarou Siviku! Tu n'as même pas essayé de protéger ton peuple:  Tu as déménagé de planète pour te cacher!  C'est vraiment chouette de ta part ça!  Je suis sûr que tes fidèles te seront reconnaissant!  Le pire, c'est que tu n'essayais même pas de te défendre!  T'es un lâche et tu ne mérites même pas d'être immortel! Alors tu peux te la fermer avec tes questions minables et aller bouffer de la jebat!!!
Pour conclure ce gentil et aimable accueil à bord du Farelucio, je lui ai craché à ses pieds avec un regard haineux.   Je ne me souviens plus vraiment si je me suis excusé (parce qu'il avait vraiment l'air terrorisé), mais franchement ça m'étonnerait.


Quand il a dit qu'il n'était pas une divinité, qu'il s'appelait Leet, je lui ai dit que je ne le croyais pas.  Pourtant, dans ma tête c'était complètement le contraire.  Je me disais aussi que c'était trop beau pour être vrai, vaincre un dieu comme ça.  J'ai fini par accepter la dure vérité:  Je m'étais trompé.  En me voyant me maudire en disant à voix haute que j'aurais dû mieux examiné les clones, il a commencé à me regarder bizzarement (même sans son visage, c'était évident.)  Avec sa gentille collaboration, il m'a éclairé en m'expliquant qu'il n'y avait pas de doubles et que la planète était en fait une prison.  Au final, il m'a raconté tout ce qu'il savait sur son univers, Prakjania, ainsi que son histoire à lui.  J'ai appris à la manière difficile que la Machine n'a jamais engendré de descendance, que les fils que les Rusakas manipulaient faisaient en fait partis de la technologie prakjanienne.  Que ceux que j'ai kidnappé n'étaient que des habitants normaux, et que lui était un prisonnier.  À la fin de son récit, il a insisté pour que je raconte mon histoire et celle de mon peuple.  Je l'ai fait, et il a autant écarquillé les yeux que moi.  Ah ben ça alors!  Qui aurait cru que personne ne connaissait l'existence des Myacéniens?  On était sûr qu'ils le savaient, nous!  Ça veut dire que j'ai détruit nos mondes respectifs absolument pour rien!  Ale était encore là-bas: je lui avait promis de revenir le chercher après avoir tué la Machine!  Je lui avait dit que je ferais de lui mon second… J'ai déjà fait des niaiseries, et les Sivikus se tâchaient de me le rappeler.  Mais pour cette bêtise-là, j'aurai bien aimé qu'on me frappe avec une lumière.  Ça aurait été moins douloureux comparé à mon cœur qui se serrait de culpabilité et de tristesse.

J'ai dû reprendre mon humeur de carapace de tortue pour parler de choses sérieuses avec Leet.  On s'est entendu pour que les Prakjaniens soient libérés de la cale.  Évidemment, ils ne pouvaient pas quitter le Farelucio, étant donné qu'on était en plein voyage dans l'espace.  Mais je leur avais promis que je les déposerais au prochain arrêt dès que possible et qu'ils seraient bien traités et sous ma protection pendant tout le voyage.  Pour ne pas les laisser se sentir trop confortable, je leur aie vite énumérer les règles, et ils ont presque tout bien saisi:

-Alors bande de gens, les règles ici sont les suivantes: On vole pas de nourriture.  Je vous avertis, si jamais je vous surprend à le faire, je vais vous tailler le bras et mettre du sel de mer dedans! Si moi ou un de mes matelots vous demande de l'aider, vous le faites.  Z'êtes pas sur un bateau de luxe.  Si jamais il y en a un qui vous demande des choses cochonnes , vous me le dites, et je vais régler son compte.  Pas de bagarre entre vous, même si ça ne semble pas vous sonnez une cloche.  Ensuite, n'essayez pas de fuir, vous allez foncer dans la bulle protectrice et vous allez paraître stupide, si vous ne l'êtes pas déjà!  Et surtout, surtout, SURTOUT PAS DE MUTINERIE!  Vous ne vous y connaissez même pas en la matière et si jamais vous le faites pareil, je vous bute,  compris?  Finalement, si jamais vous voulez vous enrôler dans mon équipage, vous pouvez venir voir …

Je venais de m'en rendre compte que je n'avais toujours pas de second.  J'ai pointé la première personne proche de moi dans mon champ de vision.  L'heureuse élue ne semblait pas s'y attendre, mais ce n'était pas mon affaire.

-Vous allez voir elle, c'est mon second!  Sur ce, j'espère que vous êtes pas des p'tits voyous et je vous souhaite la bienvenue sur le Farelucio!

Le voyage a été correct.  Bien sûr, nos invités avaient de la misère avec les règles, surtout avec celle de la nourriture.  Mais ne craignez rien, je n'avais tourné aucun bras en charpie.  C'était juste une menace envoyée en l'air (n'est-ce pas?)  Autrement, ils avaient l'air correct.  Y'en avait quelques uns qui ont rejoint nos rangs.

Quelques jours plus tard, on a atterri à un endroit qui s'appelle la Tour.  Les Prakjaniens étaient tout perdus; je les aie entendus parler d'ennemi.  Ça voudrait dire que j'ai les aie débarqué dans un territoire ennemi?  Oups, une autre bêtise…  J'étais perdu dans mes pensées, et quand j'ai relevé ma tête, tout le monde regardait dans ma direction et Leet me pointait du doigt.  Au début je me disais ''Mais qu'est-ce qu'ils ont à me regarder?'' et j'ai fini par comprendre avec les yeux terrorisés de certains: Leet leur a dit que j'étais l'ennemi.  Moi, en mode défense, j'ai protesté, et Leet me faisait signe de me taire.  Je ne sais plus si j'étais surtout insulté par ce qu'il disait de moi ou son manque de discrétion.  Le pire, c'est qu'il a continué sur sa lancée!  J'ai voulu protester de nouveau, mais il m'a encore fait un signe de silence de sa main.  Tout le monde me dévisageait, tandis que je dévisageais le prisonnier prakjanien avec incrédulité.  Puis j'ai fini par reprendre conscience que je pouvais me casser de là sans problème, pendant que Leet continuait de dire des mensonges sur moi (sauf pour quand j'ai détruit nos mondes, parce que c'était vrai.)  Discrètement, j'ai fait signe à mon équipage qu'on partait.  On est retourné à bord du vaisseau…pour découvrir que j'avais perdu la clé pour le démarrer.  Leet avait encore tous les regards de ses compatriotes tournés vers lui, quand soudainement j'ai lâché un juron de frustration:

-JEBAT!!!

Comme un seul oeil, tous leurs yeux se sont braqués  vers moi instantanément.  Il fallait dire que la fuite en se la coulant douce était définitivement ruinée.  Après avoir donné un coup de pied sur le gouvernail, je remarqua enfin qu'ils me fixaient tous.  Gêne? Honte? Humiliation? Colère?  Oui, oui, oui et OUI!  Je ne leur aie pas crié: ''Et qu'est-ce que vous avez à me regarder, vous autres?!?''  J'étais (et suis toujours) le capitaine du Farelucio,  je devais me montrer digne le plus possible.  Leet m'a rejoint pour me demander gentiment ce que je faisais.  À la place, je lui aie demandé  c'était quoi son problème, et il m'a dit que c'était sa vengeance pour ce que je lui avait fait.  Cet épisode de ma vie est plutôt floue, mais si je serais retourné dans le passé, ça serait sans doute pour vous confirmer que je me retenais de l'engueuler.  Je ne savais pas, moi, que j'avais fait de quoi sur lui!  Puis il m'a expliqué son plan (qui ressemblait à une menace, mais je n'avais rien à craindre de ce chauve), et j'ai compris que ma théorie était fausse et qu'il nous avait pas dénoncés comme des ennemis.  C'était les Myacéniens qu'il avait déclaré tel quel, mais avait précisé que mon groupe et moi étions des victimes nous aussi.  J'avais paniqué pour rien, finalement.  
Alors voilà.  C'est comme ça que je me suis retrouvé à la tour.  Parce que je n'avais rien à faire, j'ai fait comme Leet et certains de mes moussaillons et je me suis inscrit à un tournoi, dont le prix était le pouvoir de créer un univers.  C'était ma chance, ça:  Si je gagnais, je pourrais recréer Myacénie en amélioré!  Et il y aura Ale, et il n'y aura plus d'esclavages!  On ne se fera plus appeler Rusaka, mais Majars!   Et on pourra rentrer dans Balka et en ressortir comme bon nous semble!  Il y aura aussi la surface, où Leet habitait.  Sauf qu'il ne sera plus un prisonnier et tous les prakjaniens pourront reprendre leur vie comme elle était avant.





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Leet Saddler

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MessageSujet: Re: Rise of Prakjania - Les grosses baleines échouées - Alvaro Suarez   Rise of Prakjania - Les grosses baleines échouées - Alvaro Suarez Icon_minitimeVen 29 Mai - 23:21

Ahoy Captain! Tout est en ordre ici, je valide donc notre premier Myacénien et je déplace sa fiche.
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